Foire aux Questions

L'idée que tout dans l'univers, y compris les êtres vivants, provient de l'énergie est basée sur des principes scientifiques et est soutenue par diverses théories en physique et en cosmologie. Au niveau le plus élémentaire, tout dans l'univers est composé d'énergie. Notre corps, y compris chaque cellule, organe et tissu, est composé d'atomes qui vibrent constamment et émettent de l'énergie. Cette énergie peut être influencée par nos pensées, nos émotions et nos actions physiques, et affecter à la fois nos expériences intérieures et extérieures. Le concept d'énergie est également inclus dans diverses pratiques holistiques telles que le Reiki ou autres systèmes énergétiques. Ces pratiques mettent en avant le possible lien entre déséquilibres énergétiques et l’origine de symptômes physiques et émotionnels.

En comprenant et en exploitant notre propre énergie, nous pouvons améliorer notre bien-être physique, émotionnel et spirituel.

Les blocages sont des obstacles mentaux (ex croyances limitantes), émotionnels (ex peurs, angoisses) ou physiques (douleurs invalidantes) qui empêchent les individus d'atteindre leur plein potentiel et de connaître le bien-être qu’il mérite. Prendre conscience de ces blocages nécessite une introspection et une réflexion sur soi.

Ce processus peut impliquer d'explorer ses pensées, ses émotions et ses comportements et d'identifier les schémas qui peuvent les retenir. La pratique de la pleine conscience et de la méditation peut aider les individus à devenir plus attentifs à leurs expériences intérieures et à mieux comprendre leurs blocages. L’accompagnement d’un thérapeute peut également être utile pour mettre en lumière et prendre conscience des blocages. Une fois que les individus sont conscients de leurs blocages, ils peuvent travailler pour les libérer grâce à des techniques telles que la thérapie holistique, les affirmations, la déprogrammation des croyances et mémoires, la visualisation et les activités physiques.

En libérant les blocages, les individus peuvent augmenter leur conscience de soi, améliorer leurs relations et atteindre leur plein potentiel.

Les croyances limitantes sont des pensées ou des idées qui restreignent le potentiel d'un individu et l'empêchent d'atteindre son plein potentiel. Ces croyances découlent souvent d'expériences passées, d'influences culturelles et sociétales ou d'un discours intérieur négatif. Les croyances limitantes peuvent prendre la forme d'affirmations négatives, telles que « je ne suis pas assez bon » ou « je ne réussirai jamais ». Ces croyances peuvent ainsi affecter l'estime de soi, les relations et la capacité d'atteindre ses objectifs.

Pour surmonter les croyances limitantes, les individus peuvent travailler ces pensées négatives avec des preuves tirées de leurs propres expériences, s'engager dans un dialogue intérieur positif ou via l’accompagnement d'un thérapeute. En travaillant sur ces croyances limitantes, les individus changent le regard qu’il porte sur eux-mêmes et augmentent leur confiance en soi afin d’initier le changement et atteindre leur plein potentiel.

La transmission intergénérationnelle fait référence à la transmission de comportements, coutumes ou d'expériences d'une génération à l'autre, non par héritage génétique, mais par d'autres moyens de transfert. Cela peut se produire à travers des facteurs culturels, sociaux ou environnementaux, et peut avoir un impact durable sur le développement et le comportement des générations futures.

La transmission transgénérationnelle fait référence au transfert de traits ou d'informations d'une génération à l'autre, qui peut se produire par des moyens génétiques ou épigénétiques. Ce processus influence le développement et le comportement de l’individu et peut entraîner la persistance de traits, de caractéristiques, de répétitions de schémas, résonnances de traumas sur plusieurs générations. La transmission transgénérationnelle peut avoir des effets à la fois positifs et négatifs sur la santé et le bien-être des individus et des populations.

L'épigénétique est l'étude des changements dans l'expression ou la fonction des gènes qui se produisent sans altération de la séquence d'ADN sous-jacente (méthylation de l’ADN). Ces changements peuvent être influencés par divers facteurs familiaux, environnementaux ou liés au mode de vie, tels que l'alimentation, le stress et l'exposition à des traumas ou aux toxines, et peuvent avoir des effets durables sur l'expression des gènes et impacter la santé de l’individu.

Les modifications épigénétiques, telles que la méthylation de l'ADN et la modification des histones, peuvent modifier la manière dont les gènes sont régulés et exprimés. Cela peut entraîner des changements dans la fonction cellulaire, le développement et la sensibilité aux maladies, et ces changements peuvent être transmis d'une génération à l'autre, un phénomène connu sous le nom d'hérédité épigénétique.

Un événement traumatisant est une expérience très stressante qui dépasse les capacités d'adaptation d'un individu et peut avoir des effets négatifs durables sur sa santé physique et mentale. Parmis les exemples d'événements traumatiques nous pouvons cités les catastrophes naturelles, les actes de violence ou de terrorisme, les abus sexuels ou physiques, les accidents de voiture, les harcélements... Ces événements peuvent submerger la capacité d'un individu à faire face et entraîner des effets physiques et psychologiques à long terme, tels que le trouble de stress post-traumatique (TSPT), les crises d'anxiété et la dépression.

Les événements traumatisants peuvent avoir un impact profond sur la vie d'un individu et peuvent entraîner des changements durables dans son comportement, ses pensées et ses émotions.

Les traumatismes peuvent être transmis aux générations futures par héritage épigénétique, un phénomène dans lequel des facteurs environnementaux et de mode de vie modifient l'expression et la fonction des gènes. Ces changements peuvent être transmis aux générations futures par des changements dans la méthylation de l'ADN, la modification des histones et d'autres mécanismes épigénétiques.

Par exemple, l'exposition au stress lors d'un événement traumatique peut déclencher des changements dans les schémas de méthylation de l'ADN, entraînant une altération de l'expression des gènes et un risque accru de certains troubles de santé mentale, tels que la dépression et les crises d'anxiété. Ces changements peuvent être transmis aux générations futures, contribuant potentiellement à la transmission transgénérationnelle des traumatismes.

De plus, les premières expériences de vie (ex vie in utero) peuvent avoir un impact sur le développement de marqueurs épigénétiques et contribuer à la transmission intergénérationnelle des traumatismes. Par exemple, l'exposition prénatale au stress ou à d'autres conditions environnementales défavorables (deuil ou accident durant la grossesse) peut entraîner des changements durables dans les schémas de méthylation de l'ADN et augmenter le risque de développer certains problèmes de santé plus tard dans la vie de l’enfant à naître.

La méthylation de l'ADN est un processus dans lequel des molécules chimiques appelées groupes méthyle sont ajoutées à la molécule d'ADN, modifiant l'activité de gènes spécifiques. Ce processus peut « désactiver » les gènes et les empêcher de produire des protéines, ou il peut les laisser « activés » et permettre une expression normale des gènes. Les schémas de méthylation de l'ADN peuvent être transmis d'une génération cellulaire à l'autre, être influencés par divers facteurs ou impliquer dans un certain nombre de processus biologiques, notamment le développement embryonnaire, la régulation du système immunitaire et la formation de souvenirs à long terme. Dans certains cas, des modifications de la méthylation de l'ADN peuvent entraîner le développement de maladies telles que le cancer.

Plusieurs facteurs peuvent avoir un impact sur la méthylation de l'ADN, notamment :

Facteurs environnementaux : L'exposition aux toxines, radiations ou certains produits chimiques

Facteurs liés au mode de vie : une mauvaise alimentation, le stress et le tabagisme

Âge : les schémas de méthylation de l'ADN peuvent changer avec l'âge, ce qui peut contribuer au processus de vieillissement et aux maladies liées à l'âge.

Maladie : certaines maladies, telles que le cancer, se caractérisent par des modifications des schémas de méthylation de l'ADN.

Génétique : Les variations héréditaires des schémas de méthylation de l'ADN peuvent jouer un rôle dans la détermination de la sensibilité d'un individu à certaines maladies.

Hérédité épigénétique : les schémas de méthylation de l'ADN peuvent être transmis d'une génération à l'autre, influençant la santé et le développement de l’individu.

Les expériences traumatisantes peuvent avoir un impact sur la méthylation de l'ADN en provoquant des changements dans la façon dont les gènes sont régulés. Cela peut se produire par un processus connu sous le nom de modification épigénétique, dans lequel différents facteurs modifient l'activité des gènes sans modifier la séquence d'ADN sous-jacente.

Par exemple, l'exposition au stress lors d'un événement traumatique peut déclencher des changements dans les schémas de méthylation de l'ADN, entraînant une altération de l'expression des gènes et un risque accru de certains troubles de santé mentale, tels que la dépression et l'anxiété. Ces changements peuvent également être transmis aux générations futures par héritage épigénétique, contribuant potentiellement à la transmission intergénérationnelle des traumatismes.

En termes simples, un traumatisme peut provoquer des changements dans la méthylation de l'ADN qui affectent l'expression des gènes et augmentent le risque de développer certains problèmes de santé, et ces changements peuvent être transmis aux générations futures.

Il est possible d’avoir un impact sur la méthylation de l'ADN en inversant ou en atténuant les effets des expériences traumatisantes, des toxines environnementales et d'autres facteurs pouvant entraîner des modifications de la régulation des gènes.

Par exemple, il a été démontré que les accompagnements, telles que la thérapie et les pratiques basées sur la pleine conscience, diminuent la gravité des symptômes associés au stress post traumatique et améliorent le bien-être général. De même, des changements du mode de vie, tels qu'une alimentation et une activité physique améliorée, peuvent aider à atténuer les effets négatifs des toxines environnementales et à promouvoir la santé globale.

Ces différentes interventions peuvent entraîner des changements dans les schémas de méthylation de l'ADN et aider à réguler l'expression des gènes, réduisant potentiellement le risque de développer certains troubles physiques ou psychiques.

La résonance morphique est un concept de la théorie des champs morphiques, qui stipule que les choses/individus ont une mémoire collective, ce qui signifie qu'elles s'influencent mutuellement en fonction de leurs états passés. En termes simples, c'est l'idée que les modèles collectifs de comportement et d'habitudes dans la nature peuvent persister dans le temps et dans l'espace à travers un champ d'organisation invisible.

La résonance morphique est une hypothèse proposée par Rupert Sheldrake qui suggère que les habitudes et les souvenirs de systèmes similaires antérieurs (organismes, sociétés, etc.) peuvent s’influencer et affecter le comportement des systèmes actuels par une sorte d'influence non physique. Elle est souvent décrite comme un type de mémoire collective partagée par tous les systèmes similaires, qui peut influencer leur développement et leur comportement.

Les secrets de famille peuvent avoir un impact significatif sur la prochaine génération en contribuant à un manque de confiance, à un stress accru ou à des problèmes psychologiques.

Par exemple, si un secret de famille implique un abus ou un traumatisme, les effets de ce secret peuvent être transmis de génération en génération et peuvent avoir un impact sur le bien-être psychique et émotionnel des membres de la famille. Cela peut conduire à un cycle de schémas répétitifs et toxiques et augmenter ainsi le risque de problèmes tels que les crises d'anxiété, de migraines, la dépression et le trouble de stress post-traumatique (SSPT).

De plus, la pression pour garder un secret familial peut créer un sentiment d'isolement et limiter la capacité des membres de la famille à nouer des relations saines avec les autres. Cela peut contribuer à des sentiments de culpabilité, de honte et à une faible estime de soi ou d'autres troubles du comportements (addictions, compulsions, isolement, crise identitaire...)

En termes simples, les secrets de famille peuvent avoir un impact durable sur la prochaine génération en contribuant à un manque de confiance, à un stress accru et à des problèmes psychologiques, et peuvent limiter la capacité des membres de la famille à nouer des relations saines. Il est important d'aborder les secrets de famille d'une manière saine et solidaire afin de réduire leur impact sur la prochaine génération.

L'impact des non-dits fait référence aux effets de la suppression ou de l'évitement de sujets ou de sentiments importants dans la communication, ce qui peut entraîner des résultats négatifs sur la relation à l’autre.

Par exemple, ne pas dire les choses importantes dans une relation peut entraîner des sentiments de colère, de frustration et de ressentiment pouvant affecter la confiance et l'intimité avec le temps. De même, éviter les sujets difficiles ou les conflits sur le lieu de travail peut entraîner un manque de progrès et une efficacité réduite.

Dans certains cas, ne rien dire ou ne pas partager les difficultés peut accentuer les troubles du comportement, l'anxiété et la dépression, ainsi que des problèmes de santé physique, tels que des maladies liées au stress.

Il est important de communiquer ouvertement, sincèrement et en toute bienveillance pour réduire l'impact négatifs des non-dits.

Souvent dans le travail en constellations, en étant fasciné par le processus (qui est très beau et puissant), on perd de vue le fait que les changements qui se produisent dans la vie du constellé ne sont pas toujours agréables, en tout cas à court terme. Cela est particulièrement vrai si le travail effectué touche le traumatisme d'enfance (et le constellé peut même ne pas savoir qu'il en est atteint, en frappant à notre porte et en demandant de l’aide). De même, quand la personne espère, par exemple, “réparer” et améliorer la relation dans son couple.

Il faut comprendre que tout type de travail en constellations (et toute attention ciblée sur la problématique en général!) peut aboutir aux résultats suivants :

amélioration / détérioration de la situation dans le domaine en question,

rien ne change (quand, éventuellement, la difficulté ne se situe pas au niveau systémique, ou le pivot de la situation n’a pas encore été touché, si on descend “par palier”),

amélioration / détérioration dans l’axe non attendu.

Il n'est pas techniquement possible de prédire exactement ce qui va se passer! Oui, on sait qu’un travail systémique bien fait mène toujours vers plus de vérité, plus de liberté de vivre son propre destin, délié des loyautés emprisonnantes et limitantes. Mais ce chemin passe souvent par des bouleversements, voir par son écroulement. Les decors tombent, et la reconstruction de sa nouvelle réalité peut être laborieuse ou même pénible.

De plus, il va falloir se découvrir et apprivoiser son nouveau “soi”, en prendre possession et remplir l’espace libéré et “vide” avec ce qui est plus juste et plus vrai. Êtes-vous prêts à assumer ce passage et ses conséquences? Avez vous du courage et de la force?

S'il y a un aspect de votre vie où vous ne pouvez absolument pas laisser opérer un changement radical en ce moment, je ne vous recommanderais pas de faire une constellation, car tout peut basculer.

Dans un sens, la constellation est de l'artillerie lourde que l’on utilise lorsque nous avons essayé beaucoup de choses, mais qu'il n'y a pas de mouvement suffisamment puissant.

Bien sûr, il est également possible de travailler tout en douceur, en individuel, en avançant lentement et en évitant de se rendre dans les zones “explosives”. Mais alors dans ce cas, il est probablement préférable de travailler directement avec d’autres types d’accompagnement, plus doux.

Ainsi, il est primordial de demander un travail de constellation à partir de l’état de certitude “il me le faut” et “je suis prêt à tout changement”.

Et c’est de notre devoir, à nous les constellateurs, d’être bien au clair avec le constellé par rapport à ceci et de nous assurer que ses attentes et ressources sont en adéquation avec notre travail.